La commission Bénévolat, sous la houlette de Marie-Paul Froment, a définitivement changé son mode de fonctionnement pour l’accueil des bénévoles. Les futurs bénévoles qui se manifestent, entre autre après les campagnes de presse, sont invités en groupe à des réunions d’information et non plus à des entretiens individuels. Ainsi lundi 9 septembre quelques-uns avaient fait le déplacement au siège.
Après une présentation de ce que sont l’EAO et le CAD, par Marie-Paul Froment et Martine Fontenis, les besoins en bénévoles sont exposés service par service, en précisant toujours qu’il s’agit d’apporter une prestation supplémentaire pour les accueillis.
Ce jour-là étaient présentes six femmes (les hommes se font toujours aussi rares) : une étudiante américaine (accompagnée de deux salariées de l’Université) qui souhaiterait intervenir auprès des femmes, et éventuellement faire de l’aide au travail scolaire. Elle envisage également de faire un mémoire sur cette activité, voire sur l’EAO. Une autre femme, enseignante en anglais, exprime une forte motivation pour l’accompagnement au travail scolaire des enfants du CHRS Camus. Deux femmes, elles aussi très motivées, l’une infirmière psy, est très attirée par la maraude, elle fera un essai prochainement, l’autre vient de la Seine Saint-Denis où elle a déjà donné du temps pour une association ; tout l’attire, mais elle n’habite pas l’agglomération tourangelle et n’a pas de véhicule, son champ d’activité en sera forcément réduit.
On devine que le petit groupe d’aide au travail scolaire mis en place par Marie-Paul et les animateurs de Camus va vite s’étoffer.